Principes spirituels
Dans la neuvième étape, nous nous concentrons sur l’humilité, l’amour et le pardon. L’humilité que nous avons acquise au cours de cette étape vient du fait d’avoir examiné le tort que nous avons causé aux autres et d’en avoir accepté la responsabilité. Nous le reconnaissons et disons : “Oui, j’ai fait cela. Je suis responsable du tort que j’ai causé et de sa réparation”. Le fait d’avoir entendu plusieurs personnes en larmes nous dire à quel point nous les avions blessées nous a peut-être conduits à cette prise de conscience. Nous pouvons avoir été victimes de la même blessure que nous avons infligée à d’autres, et en avoir été tellement choqués que cela nous a permis de voir encore plus clairement à quel point nous avions causé du tort aux autres. Ou encore, il est possible qu’à eux seuls, le travail des étapes précédentes et le fait de faire amende honorable nous aient conduits à ressentir une humilité grandissante.
Ai-je accepté ma responsabilité pour le tort que j’ai causé, et pour le réparer ?
Réponse à venir…
Quelles expériences m’ont amené à voir plus clairement le tort que j’ai causé ? Comment cela a-t-il contribué à accroître mon humilité ?
Réponse à venir…
A la neuvième étape, la pratique du principe spirituel d’amour devient plus facile, même si nous nous sommes attachés à le pratiquer tout au long de notre rétablissement. A ce jour, nous avons éliminé en nous un grand nombre d’idées et de sentiments détestables et fait place à l’amour. A mesure que ce sentiment grandit, nous ne pouvons pas faire autrement que d’offrir cet amour d’une manière désintéressée en le transmettant autour de nous, en créant de nouvelles relations et en partageant notre rétablissement, notre temps, nos ressources, et par-dessus tout, ce que nous sommes, avec ceux qui sont dans le besoin.
Comment est-ce que je donne de moi-même . De quelle manière suis-je au service des autres ?
Réponse à venir…
En recevant le pardon, nous voyons l’importance de pardonner aux autres. Cela nous incite à pratiquer le plus possible le principe spirituel du pardon. Le fait de reconnaître que nous sommes des êtres humains nous donne la capacité de pardonner aux autres, et de cesser de porter des jugements comme nous le faisions par le passé. Donner aux autres le bénéfice du doute devient une seconde nature, et nous ne soupçonnons plus de sombres complots et des motivations tordues dans toutes les situations que nous ne contrôlons pas pleinement. Nous connaissons nos bonnes intentions et pensons qu’elles se retrouvent aussi chez les autres. Lorsqu’une personne nous fait du tort, nous sommes conscients que le ressentiment ne fait que nous priver de paix et de sérénité, aussi essayons-nous de pardonner le plus tôt possible.
Quels bénéfices m’apporte la pratique du pardon ? Quelles sont les situations dans lesquelles je suis en mesure de pratiquer ce principe ?
Réponse à venir…
Qu’est ce que j’ai eu à me pardonner ?
Réponse à venir…
